Asako I & II
C**C
Quietly passionate thriller & romance
Quiet yet passionate love story. Although it's no dynamic but quiet, it is full of suspense, keeping me on the edge of my chair.
D**E
Second Chances
A year ago, I came across a copy of Tomoka Shibasaki’s _Spring Garden_ (2014) at a local library. I hadn’t heard of the author, but she had received the Akutagawa Prize for this novel, and I was intrigued by the back-cover description. The novel blew me away. It was just the kind of writing that I would love to produce myself. I did a search to see what else I could read by Shibasaki, but unfortunately, no other books were available in the languages I can read. Another novel of hers had just been made into a major film, though. I have finally seen this film, and I am almost speechless. If _Spring Garden_ is the kind of novel I’d love to have written, _Asako I & II_ is the kind of picture I’d love to have made.You know the story. Asako (Erika Karata) falls in love with free-spirited, motorcycle-riding Baku (Masahiro Higashide), who soon vanishes from her life. Some time later, she meets Ryohei (Masahiro Higashide), who looks exactly like Baku, but is completely different: serious, formal, working 9 to 5. The film traces this relationship, grabbing our attention as we wonder: Are Baku and Ryohei the same person? If yes, how did that happen? If not, will they run into each other? Will Ryohei find out that there was another man in Asako’s past who looked exactly like him? Will he care? What is the film’s subgenre? Is this realism or magic realism?Interestingly, the film is not titled _Baku I & II_ or _Ryohei I & II_. It is Asako who is doubled, because she gets a second chance. To each person who “knows” us we are a different person. We like to think of ourselves as individuals, but we are perceived differently by each person we run into. Asako is Asako, but she is one version of herself when she’s with Baku, and another version when she is with Ryohei, even though it is the man who appears as a double image.Looking for connections, I think of Hitchcock’s _Vertigo_ (1958) and Kieslowski’s _The Double Life of Véronique_ (1991). Both of these films are about second chances. The chance to fall in love again with someone we lost; the chance to live a life different from the one we have. Maybe the key to second chances (if they exist; if one is fortunate enough to get them) is to treat them as if they were a first attempt.One of the most popular directors of the moment, Bong Joon Ho (_Parasite_, _Memories of Murder_, _Snowpiercer_), has just praised _Asako I & II_. Here’s a film that appears to be simple and straightforward, but under the surface you will find deep, meaningful questions about identity, love, emotional connections, and the ever-present past. The leading actors fit their roles perfectly. Higashide is convincing as both Baku and Ryohei. The photography is stunning. I kept thinking of one of my favorite contemporary Japanese directors, Hirokazu Kore-eda (_Shoplifters_, _Like Father, Like Son_, _After the Storm_, _Still Walking_). His films are generally “heavier” than _Asako I & II_, but if Hamaguchi’s film is more accessible, it is equally complex and thought-provoking. Hamaguchi has also received praise for his long film _Happy Hour_ (2015). I have not seen it, and I cannot say that the topic appeals to me, but having enjoyed _Asako I & II_ I may give it a shot.I wonder why _Asako I & II_ has such a low rating (6.9) on imdb. If I had to guess, I would say the film did not appeal to those expecting easy answers. This is the kind of film that doesn’t just end. It keeps playing in your mind as you think about the questions it raises. This is a brilliant, elegant piece of filmmaking.Next on my list, _No End_ (Krzysztof Kieslowski, 1985).Thanks for reading, and enjoy the film!
価**ー
PS4で普通に観れるとは・・・
フランス人のJonさんの熱いレビューを読み、映画「寝ても覚めても」の海外タイトルである「Asako I & II」のBlu-rayを購入。リージョンとか違うかもしれないと思っていたが、あっさりと視聴できて拍子抜け。言語は日本語1・2のみ、字幕は英語字幕の有・無の切り替えだけ。特典映像として、濱口監督が2003年に8ミリカメラで撮った「何食わぬ顔(43分)」と、「第56回ニューヨーク映画祭での濱口監督のインタビュー映像(27分)」が収録されている。さすがに国内版Blu-rayほどに楽しめる特典ではなかったが、何より国内版の半額ほどで購入できたので、本編のみ楽しめれば良いという方にはオススメ(といっても、今ではアマプラでも普通に見られるけれど)。ディスクには本作のアイドル的存在である猫「ジンタン(パッケージでは朝子の足元にいる)」が、自分が主役だと言わんばかりに印刷されている。あと、Jonさんも少し触れていたが、「Asako I & II」の予告編ではJuliette Armanet (ジュリエット・アルマネ)が歌う「A la folie」を日本語歌詞に変えた「激しく」が流れていたので、収録されてないかなと期待したが入ってなかった、残念。
J**N
Que je sois endormi ou réveillé...
C'est grâce à Arté qu'on a l'immense chance récemment de découvrir Ryusuke Hamaguchi. Traînant derrière lui une carrière déjà bien entamée de 17 longues années, ses films n'ont jamais été distribués en France. Après "Senses" sorti en 2018 et avant "Passion" sorti en novembre 2019, il était temps de visionner "Netemo Sametemo" (traduction: "Endormi ou réveillé", "que je sois endormi ou réveillé") rebaptisé "Asako I & II" chez nous. Avec une bande annonce fantastique bercée principalement par la douce voix d'Erika Karata (L'actrice jouant le rôle principal d'Asako) et de "A la Folie" de Juliette Armanet en version japonaise, il est difficile de contenir mon enthousiasme. Il faut dire que cet avant-goût avec quelques arrangements pourrait presque passer pour un spot publicitaire pour des cosmétiques ou même un site de rencontre. Je suis persuadé que ça passerait crème au Japon (peut-être moins en France où on préfère généralement les trucs un peu plus dynamiques). Dès les premières secondes, on est directement charmé par la beauté naturelle de la nouvelle muse du Japon, Erika Karata, véritable découverte!Alors qu'en est-t-il du film exactement? Un pitch qui laisse transparaître une histoire d'amour lambda, mais c'est sans compter la petite touche de Hamaguchi qui laisse une empreinte fantastique à son œuvre laissant son personnage principal tiraillé par le passé, rêvant éveillée alors que tout son entourage évolue au cours de l'histoire. Le film démarre rapidement et laisse que très peu de temps au premier amour d'Asako, Baku (Masahiro Higashide), de se faire une place dans l'histoire. Et pourtant cet amour bref aura un impact conséquent sur la vie de la jeune fille qui aura du mal à s'en remettre. Baku est un jeune homme insouciant, très égoïste, ses apparitions et disparitions constantes laissent toujours derrière elles une empreinte imaginaire, notamment car il promet toujours à Asako de revenir la chercher. Il faut savoir que le Baku, à l'origine, est un démon du folklore japonais qui se nourrit des rêves des gens. Le parallèle est ici fait par le réalisateur, comme si le démon avait pris forme humaine et les conséquences de ses actes sont destructrices pour Asako qui est complètement aveuglée par leur amour de jeunesse. Après plusieurs années, elle rencontre par hasard Ryohei (Masahiro Higashide, oui encore lui, il en a de la chance hein?) , le portrait craché de Baku. Il partage les mêmes traits mais est beaucoup plus attentionné et terre à terre. Leur relation a beaucoup de mal à démarrer, Asako est perturbée et Ryohei a beaucoup de mal à comprendre la situation. Le grand tremblement de terre de 2011 sera le déclic du nouvel amour de la jeune femme. Mais alors que leur relation semble partie pour durer, Asako revoit une amie d'enfance et apprend par la même occasion le retour de Baku.Ryusuke Hamaguchi semble se détacher petit à petit des codes et mœurs Japonais. Comme dans "Senses", il accorde ici beaucoup d'importance au toucher et à la communication. A la première rencontre avec Ryohei, Asako n'hésite pas à lui poser des questions personnelles, à le dévisager et à toucher son visage directement. Elle ne rechigne pas non plus à dire ce qu'elle ressent, une foule de sentiments qui sont habituellement très peu exposés dans les films Japonais. On ne cherche cependant pas à nous vendre une histoire d'amour à l'eau de rose, la fin du film n'hésitant pas à nous remettre en place. Asako sait ce qu'elle veut mais semble retenue par ses sentiments passés mélangeant rêve et réalité, ou plutôt refusant le passage à la réalité morne alors que ses amies continuent leur bout de chemin. Ses actes auront pour conséquence de la réveiller, mais les choses brisées resteront brisées. Il n'y a pas de miracle, tel le dernier moment du film, les yeux portés sur la rivière qui n'hésite pas à nous faire une petite piqûre de rappel sur la vie. Les musiques de Tofubeats font mouche, très discrètes mais toujours au bon moment. Le thème électronique qui démarre lors de certains passages avec Baku est superbe et la chanson de fin "River" a même droit à son clip avec la somptueuse Erika Karata, qui est officiellement devenue ma Baku!
X**.
Version douteuse
Version japonaise avec sous-titres anglais pour une vente en France : ce serait bien de le dire ! Rien n'est mentionné sur la version, que ce soit sur le site ou sur l'article.En outre, le produit ressemble aux copies chinoises d'il y a 15 ans...
A**U
J'avais demandé un emballage cadeau !
Pour offrir en cadeau d'anniversaire.
L**R
Scénario très indigent
Film banal, invraisemblable, ordinaire. Scénario très indigentAsako, jeune femme, s’éprend d’un jeune homme, dans une amie lui dit qu’il va lui briser le cœur.De fait, cet homme est très indépendant, et s’absente souvent longtemps.Pendant une absence pluriannuelle, Asako s’éprend d’un sosie, aimable et sérieux.Un jour, le premier homme revient ; Asako part avec ; puis revient, et cherche à se faire pardonner.Une pauvreté de pensée consternante, même pas un mystère, un papillon, une véritable intrigue.
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1 week ago
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