Plus que deux chevaux à rentrer. Gilazak, lui, est déjà depuis une minute dans sa stalle. Sur les écrans défilent les visages des jockeys à quelques secondes de l’envol. Dans les tribunes, un silence presque religieux se fait. Puis une grande clameur envahit l’hippodrome lorsque les dix-neuf concurrents sont enfin lâchés. Les chevaux du prix de l’Arc de Triomphe sont partis !
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